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The industrial revolution at the end of the 18th century marked a start point of an exponentially increasing global-scale human footprint on Earth. Such ability of contemporary human civilization to influence the environment has led to the entrance in a new geological epoch called the Anthropocene. Among the different existing threats: loss and habitat fragmentation, overexploitation of the resources, global warming, invasive species and pollution.

Industrialization and burgeoning chemistry during the 20th century, for the Great War first and then toward the civil economy, have concomitantly led to the synthesis and release of a huge amount of chemicals into the environment. Such chemicals, broadly used in various business lines (agriculture, new technologies, cosmetic, textile,...) are ubiquitous in our everyday lives.

 

Empirically suspected as being potentially harmful for living organisms, several chemicals as is the case for persistent organic pollutants (POPs) have been put in the spotlight of toxicological studies. A progressive global awareness has rapidly emerged from the scientific community results highlighting some toxic effects on human health, laboratory animals and wildlife. In that context, environmental contaminants became a worldwide preoccupation, well illustrated by the Stockholm convention, adopted in 2001 and today ratified by 182 parties to regulate and banned from use POPs. 

Volatile, these contaminants can reach isolated areas such as polar regions through oceanic currents and/ or atmospheric transports. Once assimilated by microorganisms, contaminants bioaccumulate within individuals and biomagnify along marine food webs. Because they are long-lived species and located in the upper levels of the food webs, marine predators, like seabirds and marine mammals are particularly exposed and sensitive to a complex cocktail of toxic chemicals.

I work essentially on seabirds and marine mammals from polar regions and my research interests turn around 3 general axes:

  • The environmental factors driving pollutant exposure

  • The consequences of pollutant exposure

  • The temporal trends of pollutant exposure

This is a collaborative work with many different international partners gathering several interconnected disciplines.

A cause d’une anthropisation toujours plus forte des écosystèmes, de plus en plus de menaces pèsent sur la biodiversité. Nous sommes entrés dans une nouvelle aire géologique façonnée par l’homme : l’Anthropocène.

Ainsi, la révolution industrielle de la fin du XVIIIème siècle signe le début d’une croissance exponentielle de l’empreinte de l’homme sur Terre. Parmi les nombreuses menaces existantes: la perte et fragmentation des habitats, la surexploitation des ressources, le réchauffement climatique, les espèces invasives ou encore la pollution.

Ainsi, l'industrialisation et le bourgeonnement de la chimie ont synthétisé et déversé une quantité astronomique de contaminants dans l’environnement. Ces contaminants, largement utilisés dans divers secteurs (agricole, nouvelles technologies, textile, cosmétique,...) sont omniprésents dans notre quotidien. En 2015, l’agence européenne des produits chimiques publiait le profile toxicologique de plus de 110 000 substances. C'est dans ce contexte que la pollution environnementale est devenue aujourd'hui une préoccupation mondiale. 

Ces contaminants, pour la plupart toxiques pour les êtres vivants se voient peu à peu réguler suite à la mise en place de diverses politiques communes. C’est notamment le cas de la Convention de Stockholm, adoptée en 2001 et ratifiée par près de 200 pays qui vise à réguler et interdire l’utilisation et la production de plusieurs polluants organiques dits "persistants".

Volatils, ces contaminants vont par l’intermédiaire des courants océaniques et/ ou atmosphériques gagner les pôles pour finalement s’y déposer. Une fois assimilés par des microorganismes, ces contaminants vont alors s’accumuler dans les organismes vivants au cours de leur vie et s’amplifier le long de la chaine alimentaire. Les prédateurs marins supérieurs, comme les oiseaux et mammifères marins, longévifs et situés dans les maillons supérieurs du réseau trophique, peuvent être exposés à de fortes concentrations en polluants et à un véritable cocktail de composés toxiques.

Je travaille principalement sur les oiseaux et mammifères marins, dans les régions polaires et mes travaux de Recherche s’articulent autour de 3 grands axes :

  • Les facteurs environnementaux influençant l’exposition aux polluants

  • Les conséquences de l’exposition aux polluants 

  • L'évolution temporelle de l’exposition aux polluants 

Les thématiques de recherche abordées font appel à plusieurs disciplines et sont le fruit d'un travail collaboratif impliquant différents partenaires internationaux.

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